Société Psychanalytique de Paris

Folies minuscules suivi de Folies meurtrières

Le livre est séparé en 2 parties, une principale : « les folies minuscules » suivie d’un court aperçu sur « les folies meurtrières ». Dans son avant propos, Jacques André annonce son projet avec une finesse et un humour que l’on retrouvera tout au long de son livre. Il remarque que la psychanalyse a … Lire la suite

Marilyn dernières séances

Ce livre est avant tout un roman passionnant, d’une remarquable tenue d’écriture et ainsi que le dit l’auteur dans une interview, « découpé en séquences qui reprennent les éléments du passé pour éclairer le présent », comme cela se passe au cours d’une analyse. Il concerne en effet la psychanalyse et les psychanalystes car Michel … Lire la suite

L’obscène, la mort à l’œuvre

L’obscène, notion que l’auteur qualifie à juste raison de protéiforme, qui suscite à la fois répulsion et fascination, est pour Corinne Maier la condition même de l’œuvre d’art. Pour fonder cette thèse, l’auteur rapproche deux convictions : d’une part l’art naît dans la faille ou la solution de continuité et la proximité entre la mort … Lire la suite

La sublimation

La sublimation, qui pour Freud, avec le refoulement et l’identification, participe à l’édification du fonctionnement psychique, est restée un concept qui pose question. A la fois destin pulsionnel et activité culturelle, c’est ce double aspect qui a été interrogé au cours d’un colloque organisé par le Groupe toulousain de la SPP. Ce groupe réunissant de … Lire la suite

Winnicott insolite

« Winnicott insolite », ce qualificatif s’applique en effet à toute sa pensée, mais cette monographie se propose un autre but, celui de nous faire découvrir ou approfondir des apports théoriques moins connus et surtout moins galvaudés de son œuvre que ne le sont l’objet et l’espace transitionnel, et la relation mère-bébé. René Roussillon montre … Lire la suite

Un désirable désir

Dire que le protocole de l’analyse : divan-fauteuil, énoncé de la règle fondamentale, a pour but “d’éviter que l’analyste et l’analysant ne deviennent l’objet d’une relation d’objet” peut paraître surprenant, mais le psychanalyste suisse Olivier Flournoy s’en explique en donnant sa conception de la fin de l’analyse. Il considère celle-ci comme optimale lorsque “la relation … Lire la suite