Michel Fain – Autour de l’interprétation
Cette interview de Michel Fain conduite par Claude Smadja et Gérard Szwec au sujet de l’Interprétation, est transcrite intégralement dans le numéro de la Revue française de Psychosomatique consacré à ce thème
Société Psychanalytique de Paris
Cette interview de Michel Fain conduite par Claude Smadja et Gérard Szwec au sujet de l’Interprétation, est transcrite intégralement dans le numéro de la Revue française de Psychosomatique consacré à ce thème
À travers son histoire familiale et sa vocation tardive pour la Psychanalyse sous l’influence de son ami Pierre Marty, Michel Fain raconte de façon très vivante et pleine d’humour, la situation de la Psychanalyse en France et de la SPP, au lendemain de la dernière guerre (de 1948 à 1953).
Cette pensée s’inscrit d’emblée dans la référence à la 2e théorie freudienne des pulsions : les différents concepts ou théorisations que Francis Pasche propose, résultent du jeu des forces antagonistes de l’instinct de vie et de l’instinct de mort que le « Moi », qui les convoque, transforme en pulsions de vie et de mort. … Lire la suite
Entretien en 2 parties. À travers l’évocation de sa formation, René Diatkine parle d’histoire, celle de la guerre et de l’après-guerre où le seul projet des étudiants que nous étions était de « trouver une voie pour une psychiatrie respectant l’homme ».
Cet entretien illustre l’originalité et la créativité de la pensée de Michel de M’Uzan. Il expose ici sa conception de la rencontre entre patient et analyste, en s’attachant surtout à ce qui se passe « du côté de l’analyste ». Il reprend les différentes notions qu’il a proposées pour décrire cette implication réciproque.
Entretien en 2 parties. Un des thèmes majeurs de la pensée de Michel de M’Uzan, son intérêt pour la notion d’Identité, s’est éveillé avant même la réflexion analytique, à partir d’expériences personnelles de « vacillement identitaire », de « dépersonnalisation tranquille », comme il les qualifie.
À l’époque, Michel de M’Uzan avait déclaré qu’il avait pris conscience récemment de la cohérence interne de ses conceptions psychanalytiques et du fait qu’elles constituent, disait-il, « un système de pensée ».
La valeur de ce document, (mis à part les positions de Bernard Penot qui n’engagent que lui), c’est la façon très directe et très claire, très pédagogique et très argumentée dont il s’exprime s’adressant à un interviewer non psychanalyste, sur un sujet théorique important qui ne fait toujours pas l’unanimité parmi les psychanalystes !