Société Psychanalytique de Paris

Sexualité, excès et représentation

Sexualité, excès et représentation - Rosine Perelberg

Rosine Perelberg Préface de Catherine Chabert L’objet de la psychanalyse n’est ni le sexe ni le genre mais la sexualité, celle qui établit un lien entre le sexuel et l’inconscient. Cet ouvrage puise dans différentes écoles de pensée les notions qui permettent de saisir les multiples facettes de la psychosexualité, c’est-à-dire l’expérience de l’inconscient et … Lire la suite

Crise des repères identitaires – Race, sexe, genre

Sous la direction de Céline Masson Les obsessions identitaires sont multiples et se répandent partout. Toutes nos identités collectives sont touchées et se dissolvent dans des revendications diverses : être femme ou homme ou non-binaire, être noir, blanc ou asiatique, être français ou européen, être juif, musulman, chrétien ou sans religion… La “race” , le … Lire la suite

ÉCRITS INTIMES DE PSYCHANALYSTES PENDANT LA PANDÉMIE – Journal de voyage en Confinia

Écrits intimes de psychanalystes pendant la pandemie

Sous la direction de Monica Horovitz et Piotr Krzakowski et avec la participation de Janine Puget Préface de Yolanda Gampel Ce témoignage est né de la pandémie de Covid-19 et de l’initiative de Monica Horovitz, rejointe dans le projet par Janine Puget, en mars 2020. Ces deux psychanalystes, intéressées par la clinique de l’excès, répondaient … Lire la suite

Le refus du féminin

« Freud désigne le “refus du féminin” comme un “roc”, une part de “l’énigme de la sexualité”. L’énigme n’est pas tant celle du refus du féminin que celle du féminin érotique, génital, et de sa création par la jouissance sexuelle. Autant l’égalité des sexes doit être revendiquée dans le domaine politico-socioéconomique, autant la constitution d’une relation de couple masculin-féminin est une création psychique qui implique la reconnaissance exaltée de l’altérité de la différence des sexes. Le conflit constitutif du féminin s’exprime ainsi : le sexe de la femme veut être effracté, exige de grandes quantités de libido, de la “défaite” et du masochisme érotique, mais son Moi hait tout cela. C’est le masculin de l’homme, antagoniste du phallique, qui crée le féminin de la femme en lui arrachant ses défenses, et la jouissance sexuelle. La qualité de la relation sexuelle, affective et sociale qui s’établit entre un homme et une femme témoigne d’un véritable “travail de culture”. » Jacqueline Schaeffer Psychanalyste, membre formateur de la Société psychanalytique de Paris. Postface de René Roussillon

Jacqueline Schaeffer Postface de René Roussillon « Freud désigne le “refus du féminin” comme un “roc”, une part de “l’énigme de la sexualité”. L’énigme n’est pas tant celle du refus du féminin que celle du féminin érotique, génital, et de sa création par la jouissance sexuelle. Autant l’égalité des sexes doit être revendiquée dans le domaine … Lire la suite

Éloge de la pensée primaire Une psychanalyste à la rencontre de Donald Trump

Elsa Schmid-KitSiKiS Éloge de la pensée primaire Une psychanalyste à la rencontre de Donald Trump

Elsa Schmid-Kitsikis Ce livre n’a pas vocation politique. Donald Trump, homme d’affaires à la personnalité complexe, devient le premier président américain n’ayant jamais exercé au préalable de fonction politique ou militaire. Ce qui l’anime: un besoin incommensurable d’être vu, reconnu, adulé à partir d’un seul investissement, la grandeur de l’Amérique qu’il confond narcissiquement avec son propre … Lire la suite

Le surmoi perverti — Bisexualité psychique et états limites

La contradiction actuelle entre une invitation trompeuse à la libération sexuelle et la résurgence du puritanisme défendu par de nouvelles idéolo- gies destructrices (identitarisme, complotisme, djihadisme) conduit à un fonctionnement pervers du surmoi. Si la névrose n’a pas disparu, elle se voit débordée par un trouble existentiel proche de la détresse. Les états limites deviennent un fonctionnement prévalent.

L’affaire Abraham et Torok — Légende, vie et secrets

Maria Torok (1925-1998), était convaincue que la mort de son compagnon, Nicolas Abraham (1919-1975), était due aux mauvais traitements institutionnels de la Société psychanalytique de Paris (SPP) dont elle l’estimait victime. L’affaire Abraham (le vote contre sa candidature au titre de membre adhérent de la SPP) a fait vaciller la première société psychanalytique française et nourri la légende d’Abraham.

Dispositifs psychothérapeutiques : maladies graves et handicaps — Une nécessaire créativité

Sous la direction de Marcela GARGIULO, Simone KORFF-SAUSSE, Régine SCELLES À tous les âges de la vie, les personnes atteintes de maladies somatiques graves et/ou en situation de handicap ainsi que leurs proches peuvent bénéficier de soins psychiques qui ont des effets dans le domaine de la prévention et de l’allégement des souffrances. Pour répondre … Lire la suite

Psychanalyse et vie covidienne – Détresse collective, expérience individuelle

Sous la direction d’ Ana de Staal & Howard Levine Avec les contributions de Christopher Bollas, Patricia Cardoso de Mello, Bernard Chervet, Joshua Durban, Antonino Ferro, Serge Frisch, Steven Jaron, Daniel Kupermann, Howard Levine, François Lévy, Riccardo Lombardi, Michael Rustin, Elias et Alberto Rocha Barros, Ana de Staal, Jean-Jacques Tyszler Réunissant une quinzaine de contributions de psychanalystes de … Lire la suite